Jâai ramassĂ© Ă la petite cuillĂšre une personne qui mâest trĂšs proche et qui a eu affaire Ă cet organisme.
Je suis en colĂšre et je veux le dire.
Vos mots et actions ont des consĂ©quences que vous nâarrivez pas Ă concevoir alors mesdames et messieurs et surtout vous Monsieur Laurent Gonthier, soyez vigilants, car vous ne saurez si vous avez donnĂ© lâimpulsion Ă quelquâun en souffrance de commettre lâirrĂ©parable.
Cette personne proche, ayant dĂ©jĂ tentĂ© Ă deux reprise de « partir plus tĂŽt », je mâenquĂ©rais dâun Ă©pisode mĂ©lancolique pour le moins trĂšs inquiĂ©tant, aprĂšs plusieurs semaines de discussions quant Ă la cause de son Ă©tat mental catastrophique.
Jâai alors appris quâun contact avait Ă©tĂ© initiĂ© et que lâinterlocuteur qui a pris en charge cet appel Ă lâaide Ă©tait Monsieur Laurent Gonthier, appel Ă lâaide qui a Ă©tĂ© complĂštement et catĂ©goriquement balayĂ© et non considĂ©rĂ©.
Les individus tels que Monsieur Laurent Gonthier, ont certainement un excĂšs de complexe dâinfĂ©rioritĂ© pour avoir Ă©lu une carriĂšre dans le domaine mĂ©dical/ psy.
Vous devrez prendre des pincettes et choisir vos mots, pour ne pas froisser leur sensibilitĂ© au risque de les irriter, bien que leur seuil dâapprĂ©ciation de ce qui est irritant est trĂšs TRĂS BAS.
Ils ont trop de pouvoir et cela les rend capricieux, et surtout INHUMAINS.
Cette profession reste et restera liĂ©e Ă lâhumain, alors peut-ĂȘtre devriez vous revoir vos recrutements car des personnages tels que cet infirmier de pratique AVANCĂE est une gifle Ă la face de la profession qui est censĂ©e aider les personnes qui survivent tous les jours avec un handicap invisible.
Handicap invisible qui est dĂ©jĂ lourd Ă porter puisque selon la sociĂ©tĂ©, « câest une question de volonté », il nâest donc pas nĂ©cessaire dây ajouter le mĂ©pris et dĂ©dain des soignants et leur discours culpabilisants.
A vous de tester, vous en ressortirez grandis de cette expĂ©rience : certains professionnels de santĂ© mentale nâen ont que le nom, pas la passion.
Jâai Ă©crit cela pour vous mettre en garde sur le choix de vos mots quand vous avez Ă traiter avec des personnes en souffrance, qui dĂ©ploient une Ă©nergie fĂ©roce chaque jour pour sâen sortir et encore plus pour demander de lâaide.
Depuis, nous avons trouvĂ© lâĂ©tablissement humain qui a pu prendre en charge cette personne qui mâest chĂšre et qui aujourdâhui a repris goĂ»t Ă la vie.
Je ne recommande donc ABSOLUMENT PAS cette structure, au risque de dĂ©tĂ©riorer votre santĂ© mentale, votre estime de soi, et accroĂźtre la frĂ©quence de vos crises dâangoisse.
Bon courage Ă tous. Prenez soin de vous